Par Stéphane Picard.
Chaque année, je me rend à Métis-sur-Mer en Gaspésie pour y voir la famille de ma conjointe.
Bien sûr nous ne pouvons passer du temps sans se rendre à plusieurs reprises sur la grève pour y faire une petit marche, dénicher quelques pierres et bouts de bois flotté aux formes originales et déclencher l’obturateur de l’appareil photo à quelques reprises.
Par Stéphane Picard
Au Québec, les milieux humides occupent plus ou moins 17 millions d’hectares ou 170 000 km², soit environ 10 % de l’ensemble du territoire québécois. Les milieux humides jouent un rôle de premier plan et procurent de nombreux services écologiques à l’ensemble de la population. Ces écosystèmes, ni complètement aquatiques ni complètement terrestres, représentent un maillon essentiel des milieux naturels de la province. Ils sont composés d’une gamme variée d’écosystèmes, tels que les étangs, les marais, les marécages et les tourbières.
On se voit, on s’ignore, on se courtise, on se repousse, on se combat, on se poursuit, on se fuit, on se blesse, on se retrouve… Et puis on s’aime.
Ainsi va l’amour.
Photographie équine
Sept d’entre nous sommes partis en « road trip » par une journée grise de printemps. Une tournée de coins moins visités de notre Estrie.
J’ai, pour une raison que j’ignore, une fascination pour les os. Mon chiro (qui est chiro) et ma voisine (qui est chasseuse) sont très collaborateurs…
J’ai passé la journée à aider mes voisins qui ont une bergerie et beaucoup d’animaux de compagnie. On a travaillé fort pour faire des portes de box. J’en ai profité pour faire de la photo.
Le musée des sciences naturelles de Harvard regroupe une quantité phénoménale d’espèces d’animaux et de plantes. Un labyrinthe composé de plusieurs corridors permet de découvrir les nombreuses cages de verre qui exposent et expliquent la zoologie, la botanique et la géologie. Espèces disparues et en voie d’extinction côtoient celles qu’ils faut protégées sur cette planète devenue si fragile. Mon fuji x30 était l’arme idéal pour documenter en silence ce lieu fascinant.
Comme à chaque printemps, des centaines de mouches viennent mourir dans notre studio de photographie.
L’étouffement silencieux de désirs non exprimés, la subtile poussée des idées qui cherchent à se manifester, la lente exploration des chemins étrangers, la détermination des moments de travail acharné, l’intensité d’un crescendo bien assumé, l’exaltation d’un travail collectif inspiré, la satisfaction d’une entreprise achevée.
Les projets stimulants qui nous propulsent vers l’avant et les repos bien mérités que l’on s’accorde pour un instant.
Ainsi va la vie.
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