Le terme de ferrovipathe est un néologisme, né de l’association de ferro, par assimilation à ferroviaire, et du grec pathos, signifiant la passion brute.
Certains ferrovipathes se définissent avec humour comme « malades de train », par assimilation à la terminaison « pathie », venant de la même racine grecque, associée à la notion de souffrance. Cette idée de souffrance, ou d’affection médicale, n’est pas toujours appréciée par certains1, qui préfèrent se définir plus simplement comme « amateurs de trains » ou « amateurs de chemins de fer ».